Mes lèvres sont mortes à minuit, Arièle Butaux
Mes lèvres sont mortes à minuit est le dernier roman de la pianiste et altiste de formation Arièle Butaux paru aux éditions Écriture en octobre 2014.
Malika est femme de ménage dans un appartement parisien dans lequel elle n’a strictement rien à faire. Chez Paul et Laura, tout est blanc, immaculé, impeccable, à l’image des monochromes que peint Paul et des vêtements de Laura.
Mal à l’aise face à tout ce blanc et cette propreté extrême, Malika s’interroge sur cette obsession. Mais le jour où une tâche de sang vient souiller la moquette du salon – et par là-même la pureté de cette vie bien rythmée – les apparences s’effritent et Malika voit l’équilibre du couple s’effondrer.
Sous le charme de ce titre très poétique et intriguée par la quatrième évoquant un huis clos des plus glaçants, je me suis plongée avec plaisir dans ce drame psychologique, pensant être happée par le suspense et tourner les pages de plus en plus vite pour en connaître le dénouement.
Mais si j’ai effectivement tourné très rapidement les pages, ce n’est pas tant grâce à la tension grandissante que pour vérifier que l’hypothèse que j’avais au quart de l’intrigue n’était pas la clé du mystère. Malheureusement si… Et pourtant je ne suis pas des plus perspicaces pour découvrir les détails retors des drames psychologiques. Quelle déception !
Porté par une plume insipide et sans saveur, Mes lèvres sont mortes à minuit est un texte qui s’oublie aussi vite qu’il se lit. C’est bien dommage. Il y avait tant à faire avec l’idée de départ…
Bref, une lecture à côté de laquelle je suis complètement passée et qui ne m’a pas donné envie de découvrir le texte qui suivait, intitulé Le choix du Roi.
Je tiens néanmoins à remercier Pauline de Langage&Projets et les éditions Écriture.
C’est pourtant un joli titre, je ne retiens pas.
Je ne peux pas t’inciter au contraire…
Dommage, le titre était pourtant prometteur.
Un titre très poétique et une quatrième alléchante. C’est fort dommage…
Comme les autres, je souligne le superbe titre… mais s’il n’y a que ça alors…
Disons que l’idée était intéressante mais n’a pas été assez exploitée…
C’est pourtant un joli titre, je ne retiens pas.
Je ne peux pas t’inciter au contraire…
Dommage, le titre était pourtant prometteur.
Un titre très poétique et une quatrième alléchante. C’est fort dommage…
Comme les autres, je souligne le superbe titre… mais s’il n’y a que ça alors…
Disons que l’idée était intéressante mais n’a pas été assez exploitée…