Les heures silencieuses, Gaëlle Josse
Les heures silencieuses est le premier roman de Gaëlle Josse. Il est paru en 2011 aux éditions Autrement.
Delft, novembre 1667. Magdalena Van Beyeren, mariée à l’administrateur de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, a dû renoncer très jeune à ses rêves d’aventures pour devenir une épouse modèle. Mais ses souvenirs d’enfance la hantent, notamment lorsqu’elle accompagnait son père vérifier les bateaux et l’aidait dans sa charge d’administrateur. A son journal, elle se confie et livre ses secrets comme ses désirs inassouvis.
J’avais découvert Gaëlle Josse avec Nos vies désaccordées que j’avais adoré et j’étais curieuse de découvrir, à rebours, son premier roman. Ce dernier s’inspire du tableau Intérieur avec femme à l’épinette d’Emmanuel de Witte. Gaëlle Josse a en effet pris le parti de donner la parole au personnage féminin de ce tableau, donnant corps à sa vie comme au contexte de création de l’oeuvre.
J’ai encore une fois été charmée par la plume poétique et imagée de l’auteure qui transporte le lecteur, en quelques phrases, dans le Delft du 17e siècle.
Le caractère intime de la narration à la première personne offre une dimension particulière à la confession de cette héroïne, victime d’une époque où les femmes n’avaient que peu d’espace pour s’exprimer. Delft est esquissée au travers de descriptions du changement de saison, et le lecteur de baigner dans la Hollande de Vermeer et ses contemporains. La musique tient encore une fois une place de choix dans l’intrigue, tout comme dans Nos vies désaccordées.
En 90 pages, Gaëlle Josse nous offre un roman lumineux et sensible, portrait d’une femme forte et déterminée. Une très belle découverte et une auteure dont je vais suivre le travail de près.
et je n’ai toujours pas découvert cet auteur! … me rappelle Le Miniaturiste aussi!
Oh, un impair à réparer très vite ! Celui-ci se dévore en moins d’une heure et Les heures silencieuses en un peu plus mais pas de beaucoup. Les deux m’ont complément séduite !
Oh tu me donnes envie, il semblerait qu’il y ait quelque chose de La jeune fille à la perle dans ce roman.
Tout à fait ! (je me suis fait la même remarque !) Et Gaëlle Josse réussit à nous plonger dans ce contexte spatio-temporel en 90 pages… Excellent !
et je n’ai toujours pas découvert cet auteur! … me rappelle Le Miniaturiste aussi!
Oh, un impair à réparer très vite ! Celui-ci se dévore en moins d’une heure et Les heures silencieuses en un peu plus mais pas de beaucoup. Les deux m’ont complément séduite !
Oh tu me donnes envie, il semblerait qu’il y ait quelque chose de La jeune fille à la perle dans ce roman.
Tout à fait ! (je me suis fait la même remarque !) Et Gaëlle Josse réussit à nous plonger dans ce contexte spatio-temporel en 90 pages… Excellent !
et je n’ai toujours pas découvert cet auteur! … me rappelle Le Miniaturiste aussi!
Oh, un impair à réparer très vite ! Celui-ci se dévore en moins d’une heure et Les heures silencieuses en un peu plus mais pas de beaucoup. Les deux m’ont complément séduite !
Oh tu me donnes envie, il semblerait qu’il y ait quelque chose de La jeune fille à la perle dans ce roman.
Tout à fait ! (je me suis fait la même remarque !) Et Gaëlle Josse réussit à nous plonger dans ce contexte spatio-temporel en 90 pages… Excellent !
et je n’ai toujours pas découvert cet auteur! … me rappelle Le Miniaturiste aussi!
Oh, un impair à réparer très vite ! Celui-ci se dévore en moins d’une heure et Les heures silencieuses en un peu plus mais pas de beaucoup. Les deux m’ont complément séduite !
Oh tu me donnes envie, il semblerait qu’il y ait quelque chose de La jeune fille à la perle dans ce roman.
Tout à fait ! (je me suis fait la même remarque !) Et Gaëlle Josse réussit à nous plonger dans ce contexte spatio-temporel en 90 pages… Excellent !