La fille qui lisait dans le métro, Christine Féret-Fleury
La fille qui lisait dans le métro est un roman de Christine Féret-Fleury paru aux éditions Denoël en mars.
Juliette prend le métro tous les jours pour se rendre à l’agence immobilière où elle travaille. Et tous les jours, dans la rame de la ligne 6, elle observe les passagers qui lisent. Ceux qui pleurent, ceux qui ne dégustent que quelques pages, ceux qui lisent fièvreusement… Un matin, Juliette décide de bouleverser ses habitudes et de descendre deux stations avant son arrêt, pour terminer son trajet à pied. Dans une petite rue, elle découvre un livre coincé dans une porte. Intriguée, elle s’approche quand une fillette d’une dizaine d’années l’invite à entrer, croyant avoir affaire à une passeuse de livres…
J’ai lu ce roman aujourd’hui, dans le métro, alors que j’assistais à une journée professionnelle (belle mise en abyme !). J’avais vu passer sa couverture colorée depuis quelques temps et je me suis laissé tenter par l’éditeur, ne connaissant pas son auteure. Et je dois dire que cette lecture ne me restera pas en mémoire… Intrigue facile et éculée, dénouement prévisible, personnages caricaturaux et superficiels, je me suis demandée au fil des pages où l’auteure avait voulu en venir, sans trouver une réponse une fois la dernière page tournée.
Juliette est une trentenaire un peu paumée dans la vie – comme c’est monnaie courante dans la chick-lit et certains feel good – et qui trouve un sens à cette dernière grâce sa rencontre avec Soliman et Zaïde. Elle découvre à leurs côtés à quel point les livres peuvent changer leur lecteur et les faire réfléchir à leur propre vie… Ok, jusque là, rien de révolutionnaire. Mais en fait, c’est tout. Voilà l’essentiel du roman ?! Pour une grosse lectrice qui travaille en plus dans le monde des livres, autant vous dire que je suis restée perplexe… Le propos du roman est simpliste, et la psychologie de l’héroïne (allez, n’ayons pas peur des mots et appelons-la l’héroïne !) est si rapidement esquissée qu’il est impossible de s’y attacher. L’ensemble est plat, mièvre et reste en surface. Aucune surprise, tout est facile. J’ai pensé à la bibliothérapie de Régine Detambel (qui ne m’avait pas convaincue non plus) et j’ai enchaîné ces pages au rythme des stations, pas convaincue ni séduite une seconde par ce que je lisais. Un rendez-vous complètement manqué…
Ah zut ! Le résumé est pourtant super alléchant… Mais j’avoue avoir été déçue plusieurs fois par plusieurs bouquins qui traitaient de ces sujets-là et du coup j’ai lâché l’affaire. Marre d’être déçue !
Je te comprends et je crois que je vais fuir, comme toi, ce type de livres (j’avais eu la même déception avec La bibliothèque des coeurs cabossés).
Moi, j’ai adoré ce livre tout en finesse mais, visiblement, nous n’avons pas lu le même! L’auteure manie à merveille l’ellipse et les images poétiques, simplement, elle laisse du champ au lecteur… Simple, oui, mais pas simpliste. Je le recommande!
Disons que nous n’en avons pas eu la même lecture ! Mais je comprends la poésie que tu évoques et le champ libre laissé au lecteur mais ce roman souffre de la comparaison avec d’autres titres qui ont croisé mon parcours de lectrice et m’ont laissé de plus fortes impressions. Maintenant chacun est libre de le découvrir et de se faire son propre avis sur la question.
Il y a peut-être trop de livres qui se ressemblent maintenant. On pense avoir trouvé un filon et on fonce…
C’est l’impression que j’ai eue, oui…
Je pense que je penserais la même chose que toi si je lisais ce livre. Peut-être qu’il me faudra une lecture comme ça un jour !! Après, chez Denoël, je ne suis jamais tombée sur des textes transcendants non plus. Ils servent qui ils servent…
Ça fait du bien de temps en temps une lecture légère (et je suis la première à défendre les feel good book) mais j’attendais davantage de ce résumé prometteur. Le livre ne tient pas ses promesses… Quant à Denoël, je les connais davantage pour leur côté BD avec Denoël Graphic et je leur voue un culte sans nom d’éditer Posy Simmonds et d’avoir réédité Gemma Bovery. Rien que pour ça, je les aime d’amour et je leur passe tout !
Bon ba je ne le lirai pas, même si l’idée de départ est alléchante.
Désolée… Ce n’est que mon avis mais tu connais mes goûts ^^
C’est vrai que le résumé est tentant. Je m’y serais laissé prendre aussi! Bon mois de mai Soukee! Milly!xx
Merci Milly !! Joli mois de mai à toi aussi !!
Mince pour le rendez-vous manqué! Cela arrive parfois, le titre était pourtant prometteur…
Oui, j’ai été vraiment déçue…
Ah zut ! Le résumé est pourtant super alléchant… Mais j’avoue avoir été déçue plusieurs fois par plusieurs bouquins qui traitaient de ces sujets-là et du coup j’ai lâché l’affaire. Marre d’être déçue !
Je te comprends et je crois que je vais fuir, comme toi, ce type de livres (j’avais eu la même déception avec La bibliothèque des coeurs cabossés).
Moi, j’ai adoré ce livre tout en finesse mais, visiblement, nous n’avons pas lu le même! L’auteure manie à merveille l’ellipse et les images poétiques, simplement, elle laisse du champ au lecteur… Simple, oui, mais pas simpliste. Je le recommande!
Disons que nous n’en avons pas eu la même lecture ! Mais je comprends la poésie que tu évoques et le champ libre laissé au lecteur mais ce roman souffre de la comparaison avec d’autres titres qui ont croisé mon parcours de lectrice et m’ont laissé de plus fortes impressions. Maintenant chacun est libre de le découvrir et de se faire son propre avis sur la question.
Il y a peut-être trop de livres qui se ressemblent maintenant. On pense avoir trouvé un filon et on fonce…
C’est l’impression que j’ai eue, oui…
Je pense que je penserais la même chose que toi si je lisais ce livre. Peut-être qu’il me faudra une lecture comme ça un jour !! Après, chez Denoël, je ne suis jamais tombée sur des textes transcendants non plus. Ils servent qui ils servent…
Ça fait du bien de temps en temps une lecture légère (et je suis la première à défendre les feel good book) mais j’attendais davantage de ce résumé prometteur. Le livre ne tient pas ses promesses… Quant à Denoël, je les connais davantage pour leur côté BD avec Denoël Graphic et je leur voue un culte sans nom d’éditer Posy Simmonds et d’avoir réédité Gemma Bovery. Rien que pour ça, je les aime d’amour et je leur passe tout !
Bon ba je ne le lirai pas, même si l’idée de départ est alléchante.
Désolée… Ce n’est que mon avis mais tu connais mes goûts ^^
C’est vrai que le résumé est tentant. Je m’y serais laissé prendre aussi! Bon mois de mai Soukee! Milly!xx
Merci Milly !! Joli mois de mai à toi aussi !!
Mince pour le rendez-vous manqué! Cela arrive parfois, le titre était pourtant prometteur…
Oui, j’ai été vraiment déçue…
Ah zut ! Le résumé est pourtant super alléchant… Mais j’avoue avoir été déçue plusieurs fois par plusieurs bouquins qui traitaient de ces sujets-là et du coup j’ai lâché l’affaire. Marre d’être déçue !
Je te comprends et je crois que je vais fuir, comme toi, ce type de livres (j’avais eu la même déception avec La bibliothèque des coeurs cabossés).
Moi, j’ai adoré ce livre tout en finesse mais, visiblement, nous n’avons pas lu le même! L’auteure manie à merveille l’ellipse et les images poétiques, simplement, elle laisse du champ au lecteur… Simple, oui, mais pas simpliste. Je le recommande!
Disons que nous n’en avons pas eu la même lecture ! Mais je comprends la poésie que tu évoques et le champ libre laissé au lecteur mais ce roman souffre de la comparaison avec d’autres titres qui ont croisé mon parcours de lectrice et m’ont laissé de plus fortes impressions. Maintenant chacun est libre de le découvrir et de se faire son propre avis sur la question.
Il y a peut-être trop de livres qui se ressemblent maintenant. On pense avoir trouvé un filon et on fonce…
C’est l’impression que j’ai eue, oui…
Je pense que je penserais la même chose que toi si je lisais ce livre. Peut-être qu’il me faudra une lecture comme ça un jour !! Après, chez Denoël, je ne suis jamais tombée sur des textes transcendants non plus. Ils servent qui ils servent…
Ça fait du bien de temps en temps une lecture légère (et je suis la première à défendre les feel good book) mais j’attendais davantage de ce résumé prometteur. Le livre ne tient pas ses promesses… Quant à Denoël, je les connais davantage pour leur côté BD avec Denoël Graphic et je leur voue un culte sans nom d’éditer Posy Simmonds et d’avoir réédité Gemma Bovery. Rien que pour ça, je les aime d’amour et je leur passe tout !
Bon ba je ne le lirai pas, même si l’idée de départ est alléchante.
Désolée… Ce n’est que mon avis mais tu connais mes goûts ^^
C’est vrai que le résumé est tentant. Je m’y serais laissé prendre aussi! Bon mois de mai Soukee! Milly!xx
Merci Milly !! Joli mois de mai à toi aussi !!
Mince pour le rendez-vous manqué! Cela arrive parfois, le titre était pourtant prometteur…
Oui, j’ai été vraiment déçue…