Rosa Candida, Auður Ava Ólafsdóttir
Rosa Candida est le premier roman traduit en français de la femme de lettres islandaise Auður Ava Ólafsdóttir, paru chez Zulma en 2010.
Arnljótur a vingt-deux ans et une passion : les roses. Les faire pousser sur son île, l’Islande, relève de l’exploit, et c’est avec bonheur qu’il prenait soin de la roseraie avec sa mère, avant le décès de cette dernière. C’est d’ailleurs au milieu des roses qu’Arnljótur aima Anna, une jeune fille de son âge. Mais l’arrivée de Flóra Sólt, le fruit de cette union, a transformé Arnljótur en père imprévu.
Désireux d’aller plus loin dans sa passion, Arnljótur décide néanmoins de quitter l’Islande pour se retirer dans un monastère qui possède l’une des plus belles roseraies du monde. Mais le jeune homme oscille dans cette quête initiatique, tiraillé qu’il est entre quitter les siens et se construire à travers sa passion. Jusqu’au jour où Anna décide de le rejoindre avec leur fille.
A l’image des Rosa candida, ces délicates roses à huit pétales dont il emprunte le nom, ce roman est une parenthèse de douceur et de finesse. Auður Ava Ólafsdóttir entraîne son lecteur dans un univers paisible, porté par le personnage d’Arnljótur, étonnant de maturité et de sérénité, entouré des fleurs qu’il affectionne tant.
La décision du jeune homme de se retirer dans un monastère pour redonner vie à une roseraie abandonnée fait écho au rythme du roman, lent et aérien à la fois, comme si le temps s’était figé pour donner à Arnljótur la liberté qu’il recherche. Le jeune adulte s’isole des siens, dans ce monastère dont on ignore même dans quel pays il se trouve, pour mieux se trouver. Mais ce serait sans compter sur l’arrivée d’Anna et de Flóra Sólt qui bouleverse cet équilibre fragile et infléchit petit à petit la volonté de solitude du jeune homme.
Magnifique roman contemplatif et quête initiatique dans le même temps, Rosa Candida invite le lecteur à la rêverie et à la sérénité aux côtés d’un personnage étrangement serein et déterminé face à la vie, le tout porté par une plume des plus poétiques. Une lecture à déguster et qui me rappelle avec plaisir mon voyage en Islande il y a quelques années.
D’autres avis : Alex-mot-à-mots, Canel, Choco, Clara, Enna, Estellecalim, Leiloona, Liliba, Mimi Pinson, Miss Alfie, Natiora, Sharon, Theoma, Yuko, etc.
Dans ma PAL depuis sa sortie… Misère…
Je suis dans le même cas que toi pour tant d’autres… Courage !
Quel beau billet, plein de douceur, de délicatesse, comme ces roses à huit pétales… Merci pour cette invitation à la lecture islandaise !
Je te l’avoue : tu étais ma cible avec ce billet.
Ravie qu’il t’ait touchée.
Plein de bisous
Je viens de finir « L’embellie » et je retrouve ce que tu dis sur le rythme, l’aspect contemplatif et la détermination des personnages face à la vie. Je note celui-là dans mes tablettes.
Ah ? C’est bon à savoir… Je note L’embellie alors.
j’ai lu l’échappée et l’embellie, mais pas encore celui-là, il faudrait!
Et moi c’est le seul que j’ai lu de cette auteure !
J’étais complètement passée à côté de cette lecture.
Ah bon ? Pourquoi ?
La partie passage dans la forêt m’avait été pénible, et j’en attendais mieux.
Je te comprends, quand on entend beaucoup parler d’un titre, on est parfois déçu lorsqu’on le lit. J’ai eu ce sentiment avec L’ombre du vent de Zafon…
J’aime bien de temps en temps un roman un peu contemplatif. Celui-là pourrait tout à fait me convenir.
Moi aussi j’aime bien un roman contemplatif de temps en temps est cette lecture était parfaite.
j’avais lu la résumé la semaine dernière mais je n’ai pas pris le livre, moi qui donnera une raison de repasser en librairie!
Tu m’en voies ravie !
Quel beau roman ! j’avais adoré !
Oui, une très belle lecture.
Roman acheté à sa sortie et toujours pas lu, la honte^^
Oh bein non pas la honte. Ca nous arrive à tous.
Il me tentait bien l’autre jour à la librairie, j’aurais dû le prendre ^^ Noté dans mes prochains achats ! Bon samedi, Soukee, grosses bises !
Ah ? Une autre fois alors ! Bisous Ismérie, bon dimanche à toi !
J’avais tellement aimé ce roman ! Contente que tu ‘aies apprécié aussi et autant !
Il a beaucoup plu et c’est bien normal
Dans ma PAL depuis sa sortie… Misère…
Je suis dans le même cas que toi pour tant d’autres… Courage !
Quel beau billet, plein de douceur, de délicatesse, comme ces roses à huit pétales… Merci pour cette invitation à la lecture islandaise !
Je te l’avoue : tu étais ma cible avec ce billet.
Ravie qu’il t’ait touchée.
Plein de bisous
Je viens de finir « L’embellie » et je retrouve ce que tu dis sur le rythme, l’aspect contemplatif et la détermination des personnages face à la vie. Je note celui-là dans mes tablettes.
Ah ? C’est bon à savoir… Je note L’embellie alors.
j’ai lu l’échappée et l’embellie, mais pas encore celui-là, il faudrait!
Et moi c’est le seul que j’ai lu de cette auteure !
J’étais complètement passée à côté de cette lecture.
Ah bon ? Pourquoi ?
La partie passage dans la forêt m’avait été pénible, et j’en attendais mieux.
Je te comprends, quand on entend beaucoup parler d’un titre, on est parfois déçu lorsqu’on le lit. J’ai eu ce sentiment avec L’ombre du vent de Zafon…
J’aime bien de temps en temps un roman un peu contemplatif. Celui-là pourrait tout à fait me convenir.
Moi aussi j’aime bien un roman contemplatif de temps en temps est cette lecture était parfaite.
j’avais lu la résumé la semaine dernière mais je n’ai pas pris le livre, moi qui donnera une raison de repasser en librairie!
Tu m’en voies ravie !
Quel beau roman ! j’avais adoré !
Oui, une très belle lecture.
Roman acheté à sa sortie et toujours pas lu, la honte^^
Oh bein non pas la honte. Ca nous arrive à tous.
Il me tentait bien l’autre jour à la librairie, j’aurais dû le prendre ^^ Noté dans mes prochains achats ! Bon samedi, Soukee, grosses bises !
Ah ? Une autre fois alors ! Bisous Ismérie, bon dimanche à toi !
J’avais tellement aimé ce roman ! Contente que tu ‘aies apprécié aussi et autant !
Il a beaucoup plu et c’est bien normal