L’amour, le Japon, les sushis et moi, N.M. Zimmerman
L’amour, le Japon, les sushis et moi est un roman de Naïma Murail Zimmermann, nièce de Marie-Aude Murail et Moka, paru en octobre 2016 chez Albin Michel Jeunesse.
Lucrèce a quinze ans lorsque sa mère, chercheuse en sciences, décide d’emmener sa famille vivre à Nagoya, au Japon. Depuis la disparition de leur père dans l’Himalaya, Lucrèce et Maximilien, son frère essaient de trouver un équilibre précaire avec leur mère un peu fantasque. Leur nouvelle vie japonaise est l’occasion pour eux d’avancer. Si Maximilien se régale à jouer avec Trobeau, leur chien, et remporte un franc succès à l’école primaire, Lucrèce, pour sa part, peine à s’intégrer au lycée. Obligée de choisir un club pour compléter son cursus, elle rejoint le Club des amateurs de sushis. Mais elle se rend rapidement compte que ce dernier n’est qu’une vitrine pour quatre lycéens qui n’ont pas envie de faire partie d’un club. Rapidement, Lucrèce perçoit des tensions entre Oda et Ryu, les deux garçons du groupe. Elle décide de s’en mêler et d’oeuvrer pour leur réconciliation. Pourquoi ne pas organiser un projet autour du club de sushis ?
Je dois avouer que je n’espérais pas grand chose en ouvrant ce roman ado. Peut-être un contexte culturel détaillé, quelques traditions ça et là et un soupçon de Japon d’aujourd’hui, comme Ueno Park qui m’a littéralement conquise. Et à ce niveau-là, je dois avouer que j’ai été servie.
L’intrigue prend corps dans un Japon étudié juste ce qu’il faut, où traditions bouddhistes, légendes, gastronomie et mentalités sont rendues accessibles pour le lectorat visé.
Pour le reste, l’intrigue reste très classique et hautement prévisible. Lucrèce se donne comme mission de réconcilier les deux garçons du groupe et de faire reprendre le violoncelle à Ryu, tout en s’ouvrant doucement au sentiment amoureux et l’intrigue se déroule lentement vers un dénouement attendu. Aucune surprise ni folie dans cette histoire adolescente si ce n’est la rapide question du deuil du père, évoquée alors la mère de Lucrèce a fait croire à son petit frère que ce dernier était resté vivre dans l’Himalaya avec le yéti.
Un roman ado qui ne me laissera pas grand souvenir mais qui possède le mérite d’apporter une touche culturelle à son lectorat.
Un Mois au Japon organisé par Lou et Hilde
Oui, comme tu dis, ça a l’air sympa mais sans plus… alors il est gentil, ce roman, il laisse la place à d’autres -malgré le lien de parenté avec MA Murail, hein… ^_^
Je suis bien d’accord !
et bin je ne suis pas trop livre ado….mais pourquoi pas ?
Ce n’est pas forcément celui que je te conseillerais mais à toi de voir.
Oui, comme tu dis, ça a l’air sympa mais sans plus… alors il est gentil, ce roman, il laisse la place à d’autres -malgré le lien de parenté avec MA Murail, hein… ^_^
Je suis bien d’accord !
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Ce n’est pas forcément celui que je te conseillerais mais à toi de voir.
Oui, comme tu dis, ça a l’air sympa mais sans plus… alors il est gentil, ce roman, il laisse la place à d’autres -malgré le lien de parenté avec MA Murail, hein… ^_^
Je suis bien d’accord !
et bin je ne suis pas trop livre ado….mais pourquoi pas ?
Ce n’est pas forcément celui que je te conseillerais mais à toi de voir.
Oui, comme tu dis, ça a l’air sympa mais sans plus… alors il est gentil, ce roman, il laisse la place à d’autres -malgré le lien de parenté avec MA Murail, hein… ^_^
Je suis bien d’accord !
et bin je ne suis pas trop livre ado….mais pourquoi pas ?
Ce n’est pas forcément celui que je te conseillerais mais à toi de voir.