Hamish Macbeth T.1 Qui prend la mouche, M.C. Beaton
Qui prend la mouche est le premier tome de la série Hamish Macbeth imaginée par la regrettée M.C. Beaton, la romancière écossaise qui a donné vie à la célèbre Agatha Raisin. Paru en Grande-Bretagne en 1985, ce premier tome a été publié en France en mai 2019 chez Albin Michel. Six tomes sont à ce jour parus en France, sur les trente-cinq que compte la série.
Lochdubh, petit village tranquille des Highlands, en Écosse. Alors que le stage de pêche à la mouche bat son plein dans le village, le corps de Lady Jane Winters est retrouvé sans vie dans la rivière. La pêcheuse en herbe, antipathique et langue de vipère, avait échauffé bien les esprits durant la semaine. Mais qui donc a bien pu passer à l’acte ? C’est ce que Hamish Macbeth, le policier du village au flegme légendaire, va découvrir. Le jeune homme paisible et sans ambition, piqué d’être écarté de l’enquête, va mener la sienne de son côté.
Comme vous le savez, j’aime beaucoup la série Agatha Raisin de M.C. Beaton. Même si les intrigues sont souvent cousues de fil blanc et que le dénouement est par trop prévisible, je prends plaisir à lire les aventures de la quinquagénaire enquêtrice. J’étais donc curieuse de découvrir une autre série de M.C. Beaton, surtout une série qui se déroule en Écosse !
Mais autant vous le dire tout de suite : j’ai trouvé ce premier tome poussif. Très poussif même. Si l’intrigue se met en place à bon rythme et que le stage de pêche devient rapidement le lieu où le meurtre va être commis, le personnage d’Hamish est vraiment trop mis en retrait pour être attachant. Il erre autour des participants du stage, tel un personnage secondaire, et M.C. Beaton le laisse dans l’ombre une partie de son roman. Ce n’est qu’une fois le meurtre commis et l’enquête démarrée que l’intrigue se recentre un peu sur lui, lui accordant quelques passages où le lecteur découvre un peu son quotidien. Mais c’est maigre pour s’attacher à un personnage !
Malgré ce gros bémol, j’ai quand même pris plaisir à découvrir ce roman. S’il ne révolutionne pas le genre, loin de là, il constitue un très bon divertissement made in Scotland ! Le dénouement est bien ficelé, l’intrigue moins prévisible que celles des Agatha Raisin, et le personnage d’Hamish gagne en profondeur psychologique sur la fin du roman. Espérons que la suite de la série fasse la part belle à ce personnage au flegme écossais prometteur.
On avait hésité à commencer à acheter la série en médiathèque, Agatha Raisin a eu son petit succès mais ça perd en vitesse. Finalement on l’a pris et ça sort bien. Mais je n’ai pas testé moi-même… Curieuse et en même temps pas attirée car j’ai peur d’être déçue. Du coup je reste en attente !
Ça ne m’étonne pas qu’elle connaisse son petit succès en médiathèque. On l’a voit aussi passer pas mal sur les blogs et IG. De mon côté c’est vraiment une première impression en demi-teinte, donc je comprends tes réserves…
Bon, malgré ton bémol, j’aimerais quand même me faire une idée… Et puis, notre Ecosse adorée, quoi…! 🙂 Bises à tous les 3!
Oui, voilà, rien que pour l’Ecosse, je vais poursuivre la série (en espérant que ça s’améliore !^^)
Bises à tous les 3 aussi ! 🙂
Coucou, Soukee ! Rien à voir avec Hamish (tu t’en doutes ;-p) mais un beau tout premier mois tout neuf à Zelda et à ses parents !! C’est vrai, les débuts ont un côté un peu rock’n roll (même, comme tu dis, en étant très organisés et soudés, un enfant c’est une sacrée REVOLUTION) mais c’est comme pour l’accouchement, ça ne dure pas, on oublie vite les petits désagréments (ou alors on s’y habitue, on s’adapte) pour ne garder que le bonheur. D’autant que votre puce est absolument craquante (c’est normal que je redevienne gaga en voyant ses photos ?!?… Lire la suite »
Coucou Fondant, merci beaucoup, c’est adorable !
J’ai cru comprendre qu’on oublie vite ces débuts un peu rock’n roll, parce que tous ceux qui les ont passés n’en gardent que peu de souvenirs, alors que ceux qui sont en plein galèrent comme nous !^^
Merci beaucoup en tout cas, ça rassure de se sentir moins seuls. 😀
Gros bisous et oui, vive la Famille Souris !
PS : j’ai beaucoup pensé à toi et à tes premiers challenges Feel Good dans mon dernier post. D’ailleurs, au final, Zelda est un bébé à 2000% Feel Good ! 😉 Il n’y a pas de secret : à parents heureux, enfant épanoui… Je t’embrasse bien fort.
Oh, je file le lire alors, j’ai beaucoup de retard sur les blogs des copinautes (tu t’en doutes^^).
Oui, Zelda est un bébé Feel Good, c’est vrai. Mais il faut dire qu’on est très sereins et je pense que ça aide à avoir un bébé détendu.
Je t’embrasse fort aussi, merci de tes doux messages. 🙂
Je reviens t’embêter le 23 juillet : yes, une bonne raclette au mois de juillet, pas plus tard qu’il y a 10 jours avec mes parents, j’avoue ! 😀
En faisant du tri dans mes vieux billets, je suis aussi tombé sur celui-ci : http://croquerlespages.canalblog.com/archives/2017/05/06/35254942.html
qui m’a fait penser à ton récent post sur les premières semaines avec un bébé.
On est tous pareils, on fait tous de notre mieux et on mérite bien les soirées crêpes devant une bonne série !!! 🙂
Bises à tous les 3 ! ^_^
Ah ah, j’en étais sûre ! Vous êtes nombreux, les amateurs de raclette en plein été ! 😀
Merci beaucoup pour le lien vers ton post, je vais le lire de ce pas. Ca fait vraiment du bien de voir qu’on n’est pas les seuls à trouver ça dur (même si honnêtement, Zelda est vraiment un bébé adorable).
Bisous à tous les trois aussi ! 🙂