Les Eaux troubles du mojito et autres belles raisons d’habiter sur terre, Philippe Delerm
Les Eaux troubles du mojito est le dernier recueil de nouvelles de l’écrivain français Philippe Delerm paru en août aux éditions du Seuil.
La saveur douceâtre de la pastèque, l’ambiance du jardin du Luxembourg, les cadenas du Pont des Arts ou encore le plaisir de déguster un mojito, Philippe Delerm invite son lecteur à profiter de ces petits plaisirs du quotidien qui colorent la vie, tout en soufflant un vent de nostalgie et de mélancolie sur ces moments à part…
J’aime les textes de Delerm, leur poésie souvent, leur nostalgie, parfois, leur beauté constante. J’avais retrouvé mes racines dans Quiproquo, m’étais régalée à la lecture de Dickens, barbe à papa et autres nourritures délectables, et avais ri franchement avec Je vais passer pour un vieux con.
Et si j’ai ouvert ce nouveau recueil avec beaucoup de plaisir, j’avoue ne pas avoir trouvé ce que j’aime d’ordinaire chez Delerm. Une certaine poésie, une émotion qui se dégage des textes, des rires fréquents. J’ai lu d’une traite les quarante nouvelles très courtes qui composent ce recueil mais j’y suis restée insensible. La plume de Delerm est belle mais beaucoup moins poétique que dans ses autres textes. Peut-être que mes goûts ont changé et que je suis moins perméable aux histoires douces amères de Delerm ? Ou peut-être que la mécanique se rouille d’elle-même et use les lecteurs fidèles ? Allez savoir…
Une lecture en demi-teinte, sans conteste, mais qui me permets de débuter mon challenge Challenge 1% de la Rentrée littéraire qu’organise Herisson ! Le principe est simple : lire 1% des 589 romans parus entre mi-août et mi-octobre cette année, soit 6 romans, avant le 31 juillet 2016
Le titre me parle forcément, mais je reste assez insensible à l’écriture de Delerm alors si toi-même tu n’as pas été touchée par celui-ci ce n’est même pas la peine que j’essaie.
Pareil : le titre ne m’a pas du tout laissée insensible Mais non, vraiment, je ne te conseille pas ce recueil-là de l’auteur (et tant pis, on parlera de mojitos à d’autres moments sur nos blogs, comme dans nos Moi après mois par exemple )
Vous êtes plusieurs à dire ça… moi je l’ai autant aimé que les autres. C’est bizarre…
C’est vrai ? Je t’avoue que j’ai été surprise que la magie n’opère pas comme d’habitude. J’aime vraiment beaucoup cet auteur pourtant…
J’ai été déçu moi aussi. Et pourtant je suis comme toi, j’aime beaucoup Delerm.
Je me sens moins seule J’ai vraiment été déroutée par le fait que je n’ai pas éprouvé d’émotions avec ce recueil. D’ordinaire, quand je lis Delerm, je ris, j’ai parfois les larmes aux yeux, voire je me sens obligée de lire le texte à haute voix à un autre tant je le trouve réussi. Et là, rien. C’est bien dommage…
Décidemment sur ce libre les avis sont unanimes : à éviter !
Pas forcement à éviter mais Delerm ne nous offre pas là ce à quoi il nous a habitués et c’est bien dommage…
Il est vrai que si l’auteur tire toujours sur les mêmes ficelles, cela peut lasser.
Jusque là le charme opérait… Mais pas avec ce titre.
J’avoue m’être ennuyée à mourir…
Je n’en ai pas eu le temps, tellement le texte est court, mais je comprends tout à fait ton ressenti…
Le titre me parle forcément, mais je reste assez insensible à l’écriture de Delerm alors si toi-même tu n’as pas été touchée par celui-ci ce n’est même pas la peine que j’essaie.
Pareil : le titre ne m’a pas du tout laissée insensible Mais non, vraiment, je ne te conseille pas ce recueil-là de l’auteur (et tant pis, on parlera de mojitos à d’autres moments sur nos blogs, comme dans nos Moi après mois par exemple )
Vous êtes plusieurs à dire ça… moi je l’ai autant aimé que les autres. C’est bizarre…
C’est vrai ? Je t’avoue que j’ai été surprise que la magie n’opère pas comme d’habitude. J’aime vraiment beaucoup cet auteur pourtant…
J’ai été déçu moi aussi. Et pourtant je suis comme toi, j’aime beaucoup Delerm.
Je me sens moins seule J’ai vraiment été déroutée par le fait que je n’ai pas éprouvé d’émotions avec ce recueil. D’ordinaire, quand je lis Delerm, je ris, j’ai parfois les larmes aux yeux, voire je me sens obligée de lire le texte à haute voix à un autre tant je le trouve réussi. Et là, rien. C’est bien dommage…
Décidemment sur ce libre les avis sont unanimes : à éviter !
Pas forcement à éviter mais Delerm ne nous offre pas là ce à quoi il nous a habitués et c’est bien dommage…
Il est vrai que si l’auteur tire toujours sur les mêmes ficelles, cela peut lasser.
Jusque là le charme opérait… Mais pas avec ce titre.
J’avoue m’être ennuyée à mourir…
Je n’en ai pas eu le temps, tellement le texte est court, mais je comprends tout à fait ton ressenti…